Le 11 décembre, une visioconférence de la coalition des volontaires a été programmée pour discuter des avancées vers une résolution pacifique du conflit ukrainien. Emmanuel Macron et Keir Starmer, Premier ministre britannique, coprésideront la réunion, soulignant l'importance d'une paix "robuste et durable" en Ukraine. Le communiqué officiel de l’Élysée précise qu'il s'agit d'un point crucial pour faire le bilan des négociations dans le cadre d'une médiation américaine.
La veille, le chancelier allemand Friedrich Merz a rapporté que des propositions concernant des concessions territoriales ukrainiennes ont été transmises à Donald Trump. Ces initiatives visent à offrir un cadre de négociation pour faciliter un cessez-le-feu. On observe déjà des répercussions ; Sergueï Lavrov, le ministre russe des Affaires étrangères, a indiqué avoir eu des échanges avec Trump concernant des solutions à long terme.
D'après une récente analyse du France Télévisions, la dynamique de cette situation complexe est exacerbée par les opinions divergentes au sein des États-Unis et d'autres nations engagées. Des experts en géopolitique, comme Jean-Marie Guéhenno, ancien secrétaire général adjoint des Nations unies, estiment que l'acceptation de certaines concessions pourrait ouvrir la porte à un dialogue plus constructif.
Il est crucial de noter que ces travaux de paix, bien que préliminaires, reflètent une volonté croissante de la communauté internationale de restaurer la stabilité en Ukraine. L'avenir du pays dépendra en grande partie de la capacité des dirigeants à naviguer ces eaux tumultueuses tout en préservant la souveraineté ukrainienne.







