Vendredi, 26 décembre, les Comores et la Zambie ont partagé les points dans un match nul (0-0) lors de leur deuxième confrontation à la CAN 2025. Bien que ce soit le premier score vierge de ce tournoi, la rencontre n'a pas vraiment satisfait les deux équipes du groupe A. Dans un contexte où les Comores avaient besoin de points après leur défaite contre le Maroc, un match nul leur laisse des espoirs, mais ils devront maintenant combattre lors de leur prochain affrontement pour se qualifier pour les huitièmes de finale.
Les Comores, lors de leur seconde participation à la phase finale de la CAN, ont montré une belle assurance. L’équipe, dirigée par Stefano Cusin, a maintenu la possession de balle et a dicté le rythme du jeu. Leur première occasion significative est survenue suite à un corner, où Maolida a failli ouvrir le score, mais la tentative a été sauvée sur la ligne par le gardien zambien, Chanda.
Un but annulé par la technologie
Les Comores ont cru prendre l’avantage lorsque Rafiki Saïd a créé une belle action sur le flanc gauche, permettant à Myziane Maolida de marquer dans un but ouvert. Cependant, la VAR a annulé le but pour une faute antérieure, montrant que les petites erreurs peuvent coûter cher à ce niveau de compétition.
Du côté de la Zambie, la première mi-temps a commencé difficilement, avec une entame timide. Cependant, à mesure que le match avançait, les Chipolopolos ont réussi à trouver leur rythme, menés par Daka et Banda, mais leurs efforts en seconde période n'ont pas réussi à percer la défense comorienne, où le gardien Yannick Pandor a été vigilant.
Avec une victoire nécessaire pour progresser, les Comores seront sous pression contre un Mali en difficulté, tandis que la Zambie aura une tache ardue contre le Maroc. Comme le souligne l’expert sportif de France Football, « ce match nul est tiré d'une stratégie qui doit être optimisée. Chaque point compte, mais rien ne vaut une victoire pour rassurer son équipe et ses supporters ».
Alors que le groupe A se resserre, les deux équipes garderont espoir, mais les défis à venir s’annoncent redoutables. Reste à savoir qui saura prendre les devants au bon moment.







