Des initiatives pour un avenir meilleur. Lors de la récente session du Conseil communautaire de Tarn-Agout, plusieurs décisions cruciales ont été prises pour assurer la continuité des services publics dans la région. Parmi les points clés de l'ordre du jour, l'adoption d'une convention de partenariat avec le Conseil Départemental d'Accès au Droit (CDAD) du Tarn a été particulièrement remarquée. Ce partenariat vise à maintenir les permanences des Points Justice au sein des Espaces France Services de Lavaur et de Saint-Sulpice-la-Pointe. En raison de la diminution de ses financements, le CDAD a dû restreindre ses activités aux communes capables de financer une contribution annuelle. La collectivité, consciente de l'importance de l'accès à la justice pour ses citoyens, a décidé d'allouer 2 500 € par an pour la période 2026-2028.
Un pas vers l'équité sociale. Ce partenariat garantira deux permanences mensuelles dédiées à fournir des informations juridiques, un accompagnement dans les démarches administratives et une aide spécifique aux populations vulnérables. Ces initiatives sont soutenues par de nombreux élus qui estiment que l'accès à la justice est un droit fondamental et un vecteur essentiel d’équité sociale.
Gestion de la fourrière : un choix unanime. Dans un autre registre, la gestion de la fourrière intercommunale a également été un sujet majeur. Le Conseil a assigné la SARL Gomez à cette tâche à partir du 1er janvier, un choix fait à l'unanimité, et ce, après un processus de délégation de service public entamé en avril. Unique candidate, la SARL Gomez a été jugée apte à répondre aux exigences fixées en matière de délais d'intervention et de qualité de service, renforçant ainsi la fiabilité des services destinés aux usagers.
Anticipation budgétaire pour la continuité des services. En matière de finances, le Conseil a voté l'autorisation pour le président de commencer à engager des dépenses d'investissement dès le début de l'année 2026, même avant que le budget primitif ne soit adopté. Cette mesure, en conformité avec le Code général des collectivités territoriales, permet d’utiliser jusqu'à un quart des crédits votés l’année précédente pour garantir la continuité des services. Elle concerne divers équipements, tels que les infrastructures de voirie, les centres aquatiques, les crèches, et bien d'autres. Les élus ont exprimé leur satisfaction quant à cette décision, garantissant que les fonds mobilisés seront intégrés dans le budget primitif de 2026.
Avec ces mesures, Labastide-Saint-Georges franchit un pas significatif vers un service public plus accessible et efficace, répondant ainsi aux besoins croissants de ses résidents.







