En début d’année 2025, Nîmes était secouée par la disparition inquiétante de Salah Bouabdallah, un psychologue de renom. Le mardi 28 décembre, la situation a pris une tournure dramatique lorsque son fils, âgé de 27 ans, a fait une confession troublante au commissariat de la ville. Selon la procureure de Nîmes, Cécile Gensac, il se serait accusé du meurtre de son père, affirmant avoir dissimulé le corps de la victime.
Cette affaire soulève de nombreuses interrogations, tant sur le mobile du meurtre que sur le contexte familial. Alors que Salah Bouabdallah était fiché S et devait prochainement comparaître pour des accusations d'apologie du terrorisme, son fils semble être un inconnu pour les autorités. Des sources proches de l’enquête rapportent que l’adolescent aurait traversé des moments difficiles, mais la portée des événements reste à établir.
Selon le site Le Monde, des investigations approfondies sont déjà en cours pour vérifier les dires du jeune homme. Des accords avec des experts en psychologie criminelle pourraient éclairer les motivations derrière ce geste tragique. "Il est crucial d'analyser la dynamique familiale et les pressions psychologiques", explique Dr. Émile Dubois, un spécialiste en criminologie interrogé par les médias.
Cet événement a eu un fort impact sur la communauté nîmoise, qui tente de comprendre comment une telle tragédie a pu se produire au sein d'une famille. Une vigile prévue en hommage à Salah Bouabdallah a déjà suscité l’intérêt de plusieurs associations locales.
Alors que l'enquête se poursuit, la ville de Nîmes se retrouve plongée dans une inquiétude croissante. Les implications de ce crime sur la société et les questions sur la santé mentale risquent de résonner au-delà des murs de cette affaire tragique.







