Andréa Kotarac, porte-parole du Rassemblement national et président de son groupe au conseil régional d'Auvergne-Rhône-Alpes, a récemment rendu un vibrant hommage à Brigitte Bardot. Dans une intervention sur franceinfo, il a salué sa contribution significative à la culture française, la qualifiant de "symbole de la France à travers le monde et au-delà des frontières". Bardot, décédée à 91 ans à Saint-Tropez, incarnait l'essence même du cinéma français des années 50, tout en devenant une fervente militante de la cause animale.
Kotarac a souligné que Bardot était le seul soutien célèbre du Rassemblement national. "Ce n’est pas un hasard si Brigitte Bardot a reconnu le travail sérieux de Marine Le Pen sur la question animale", a-t-il déclaré, mesurant l'importance du programme du parti dédié à la protection des animaux. Cette admiration n'est pas nouvelle : l'actrice a captivé l'attention du public français et international, jouant un rôle essentiel dans le débat sur la cause animale.
Évoquant son engagement précurseur, Kotarac a rappelé que Bardot avait fait campagne dès 1977 contre la chasse aux bébés phoques, marquant les esprits avec une couverture emblématique dans Paris Match. Il a décrit son œuvre comme étant "avant-gardiste," soulignant que Bardot avait non seulement éveillé les consciences sur les problématiques de consommation excessive, mais aussi sur la marchandisation des êtres vivants. "C'était davantage qu'une simple lutte politique; il s'agissait d'une réflexion profonde sur nos valeurs morales et philosophiques", a-t-il ajouté.
Ce vibrant hommage de Kotarac fait écho à une reconnaissance plus large du rôle d'artistes comme Bardot dans le façonnement de l'identité culturelle française, qui continue d'inspirer et de poser des questions sur notre rapport à la nature. De nombreux experts et commentateurs se mettent également à débattre de l'héritage de Bardot dans le cadre des relations entre culture populaire et engagement politique.







