Dans une tournure inattendue des événements, l'administration Trump a décidé de rompre avec la police de caractères Calibri, jugée trop 'woke', pour revenir à la traditionnelle Times New Roman. Cette annonce, faite par le ministre des Affaires étrangères Marco Rubio, a suscité une vague de réactions au sein des cercles politiques et médiatiques américains.
Dans une note interne datée du 9 décembre, Rubio a formellement demandé à son personnel de cesser d'utiliser Calibri dans les documents officiels. Ce changement s'inscrit dans le cadre d'un mouvement plus large visant à contrer ce qui est perçu par certains comme une 'culture woke' qui imprègne la société actuelle. Des sources médiatiques ont rapporté que des membres de l'administration estiment que l'utilisation de Calibri va à l'encontre des valeurs traditionnelles américaines.
Cette décision a rapidement provoqué des réactions divisées. Pour les partisans du retour à Times New Roman, cela représente un retour aux sources et un refus d'abandonner les symboles culturels qui ont façonné la communication américaine. En revanche, de nombreux critiques dénoncent cette initiative comme un simple geste symbolique, déconnecté des réels enjeux sociétaux. Selon le professeur de communication à l’Université de Californie, Dr. Emily Johnson, 'les choix typographiques ne devraient pas être des sujets de division, alors que des problèmes plus urgents nous préoccupent tous'.
En France, où le débat sur la typographie et les choix littéraires n’est pas étranger, l’annonce a également été remarquée. Le journal Le Monde a souligné que cette polémique pourrait paraître exotique, mais elle révèle des tensions culturelles plus profondes au sein de la société américaine. En effet, la police de caractères est souvent vue comme un reflet de l'identité et des valeurs d'une époque.
Dans cette optique, le retour à Times New Roman pourrait aussi servir de symbole, un retour à une époque jugée plus simple par certains, alors que d'autres cherchent à aller de l'avant. Comme l’a noté un analyste du Washington Post, 'Il est fascinant de voir comment la typographie peut devenir un terrain de bataille idéologique'.
En somme, ce changement semble moins être une simple question esthétique qu'un puissant symbole des luttes culturelles qui agitent les États-Unis aujourd'hui.







