Ce vendredi 26 décembre, en début de soirée, le secteur autour du stade des Costières a été envahi par un vacarme impressionnant, déclenché par un rassemblement automobile qui se reproduit chaque semaine. Les habitués du dimanche soir semblent avoir amplifié les décibels à un niveau record.
Un quotidien perturbé
Les résidents des environs, y compris ceux de la polyclinique Grand Sud et d'un EHPAD, se sont retrouvés confrontés à une nuisance sonore bien au-delà des limites acceptables. Ce phénomène, qualifié par certains de véritable tapage nocturne, dure depuis plus d'une heure. La situation est d'autant plus préoccupante qu'elle est souvent accompagnée de comportements imprudents, tels que des vitesses excessives et des dérapages dans les giratoires.
Malgré les contrôles réguliers par les forces municipales et la compréhension des impacts sur la qualité de vie des habitants, peu de mesures concrètes ont été mises en place pour mettre fin à ces rassemblements bruyants. L'association Française contre le bruit, dans une étude récente, a révélé que les nuisances sonores peuvent affecter la santé des résidents, créant lié au stress et à l'anxiété.
Ce mardi, des riverains exprimant leur frustration ont demandé à la municipalité de prendre des mesures plus strictes pour assurer la tranquillité de leur quartier, soulignant l'inefficacité des interventions passées. Nombreux sont ceux qui craignent que, sans action significative, les problèmes de bruit persistent chaque vendredi soir, perturbant leur repos et leur quotidien.
Ainsi, la ville de Nîmes se retrouve à nouveau face à un défi : comment concilier passion automobile et qualité de vie des habitants ? Les réponses restent à trouver.







